Category

night

De la lettre du voyant à la Bhagavadgītā /​La doctrine du non-soi

Publié par night, Verbaliser la forme
La doctrine du non soi, en sanskrit Anātman distingue le bouddhisme comme une déviance de la croyance hindoue de l’Ātman, le soi ou l’essence pure. Seulement, du point de vue de la non individuation plutôt que du « non soi », le « Je est autre » de la lettre du voyant propose une nuance à cet aspect de la doctrine bouddhiste. Une étude extraite de…
Lire la suite

Boire l’eau des cimetières.

Publié par night, Poèmes

J’étais assez mal barrée dans la vie. Rêves en vrac, cauchemars en plein jour. J’ai largué les amarres dès la naissance, laissant mes parents jeunes et beaux régler les affaires courantes de ma petite vie ordinaire. Dis-​moi, qu’allons-nous chercher dans les entrailles de la nuit ? Au fond de cet antre gelé où, sous nos yeux, sont fabriqués les rêves. Il me répondait, toi tu marches…

Lire la suite

Directement vécue

Publié par night, Textes fondateurs
Et ajouter, afin d’indigner une bonne fois pour toutes les progressistes, qu’il n’y a rien d’étonnant à ce que les premiers livres furent des registres de commerce. La civilisation marchande est une civilisation du livre. Roland Devresse https://www.youtube.com/watch?v=b9kq_Rqo4H4 Quelques notes sur la poésie. Je postule qu’il n’y a pas d’art. Seulement la poésie. L’art a été inventé pour séparer la poésie de la…
Lire la suite

Ici les oiseaux viennent chuchoter.

Publié par night, Poèmes

Tandis que le monde constate combien il est devenu petit. Tandis que le capitalisme dans sa folie de croissance s’est, de lui même, rendu bactérie et qu’apparait l’évidence que, s’étant répandu partout nous ne pouvons plus lui échapper nulle part. Nous vous offrons, depuis les cimes d’autres mondes, Quelques bruissements de ce qui vient Logiquement, implacablement. LA POSSIBILITÉ DE CRÉER UN AILLEURS AU BEAU MILIEU D’ICI. Puissent…

Lire la suite

L’instant de l’instinct /​Poème d’été

Publié par night, Poèmes

Se laisser emporter par le courant accueillir la cataracte torpiller la mollesse des villes se laisser vivre s’engloutir de nouveaux mondes des cabanes comme des fleuves et des ruisseaux qui gonflent au rythme des pluies des cabanes comme des fusées mentales prêtes à décoller il n’y a qu’à voir ce toit pointu des cocons pour filer des cocons pour refuges douce fuite pour enfin habiter tisser d’autres liens…

Lire la suite